Le 25 novembre 2024, l’Azur Arena d’Antibes a accueilli une journée d’action de sensibilisation, de prévention et d’information sur le harcèlement, intitulée « Quand c’est non, c’est non ».
Cet événement, organisé en collaboration avec l’antenne de justice d’Antibes/Vallauris, a rassemblé de nombreux acteurs engagés, dont la CPTS Antipolis, des associations locales, des gendarmes, des avocats, des sportifs ainsi que des artistes peintres pour une approche multidisciplinaire du sujet.
Une approche interactive et participative
La journée s’est déroulée sous la forme de groupes de parole, favorisant les échanges et l’expression des jeunes sur cette thématique sensible. Grâce à une méthodologie dynamique combinant brainstorming, jeux de rôle et diffusion d’informations pratiques, les participants ont pu prendre conscience des enjeux du harcèlement et de ses conséquences. Des flyers informatifs ont également été distribués pour prolonger la sensibilisation au-delà de l’événement.
Un large public concerné
Tout au long de la journée, des groupes de 15 à 20 jeunes ont participé à ces ateliers, permettant une interaction de qualité et une véritable réflexion collective. Collégiens, lycéens et jeunes de la mission locale ont répondu présents, témoignant ainsi de l’importance de cette initiative.
Au total, 130 jeunes ont été sensibilisés lors de cette action.
Un besoin émergent de parler des IST
Un questionnaire anonyme portant sur la vie intime a été proposé aux participants. Les réponses ont révélé une forte demande d’information sur les infections sexuellement transmissibles (IST), soulignant ainsi l’importance d’intégrer cette thématique dans les futures actions de prévention.
Un engagement durable
Cette journée a démontré la nécessité de poursuivre et d’amplifier les actions de sensibilisation sur le harcèlement et les problématiques liées à la vie intime des jeunes. Le succès de cette initiative encourage à renouveler ce type d’événement, en adaptant les thématiques aux besoins exprimés par les participants.
Grâce à la mobilisation de nombreux professionnels et intervenants, dont la CPTS Antipolis, « Quand c’est non, c’est non » a permis de libérer la parole et de donner aux jeunes des clés pour mieux comprendre, prévenir et réagir face au harcèlement.